Subject: mailing-list for TeXmacs Users
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From : Martial Tarizzo <address@hidden>- To: marc lalaude-labayle <address@hidden>
- Cc: texmacs-users <address@hidden>
- Subject: Re: [TeXmacs] TOC and page headers problems
- Date: Thu, 18 Aug 2016 23:25:33 +0200
I just inserted a CR between <part|> and <chapter|> : <part|> on its own line.
HTH2016-08-18 19:08 GMT+02:00 marc lalaude-labayle <address@hidden>:
MarcThx for any trick.Hello again,here is a tm file illsutrating my concern about headers : there is no need for the page 7 of this document.2016-08-18 18:45 GMT+02:00 marc lalaude-labayle <address@hidden>:....Here are the references.... and the TOCHi,i am compiling a pretty big texmacs document (a thesis) using include.
Here is the code edited within gedit :
<TeXmacs|1.99.4>
<style|<tuple|book|french|compact-list>>
<\body>
<\hide-preamble>
<assign|display-section|<macro|nr|<arg|nr>>>
<assign|doc-title|<macro|x|<\surround|<vspace*|0.5fn>|<vspace|0.5fn>>
<doc-title-block|<font-magnify|1.682|<with|math-font-series|bold|font-series|bold|<arg|x>>>>
</surround>>>
<assign|section|<macro|title|<assign|section-numbered|<compound|section-display-numbers>><assign|section-prefix|<macro|<compound|the-section>.>><compound|next-section><compound|section-clean><compound|section-header|<arg|title>><compound|section-toc|<arg|title>><if|<value|section-numbered>|<compound|section-numbered-title|<arg|title>>|<compound|section-title|<arg|title>>>>>
<assign|quotation|<\macro|body>
<\padded>
<\indent-both|<value|quote-left-indentation>|<value|quote-right-indentation>>
<small|<surround|<yes-indent>||<arg|body>>>
</indent-both>
</padded>
</macro>>
</hide-preamble>
<doc-data|<doc-title|Mon titre|<doc-subtitle|Mon sous-titre>|<doc-author|<author-data|<author-name|Marc
Lalaude>>>|<doc-date|<date>>>
\;
<part|Partie théorique>
<include|Problematique hypotheses/Chapitre_0.tm>
<include|Partie theorique/Chap 1 Revue de questions/Chapitre_1.tm>
<include|Partie theorique/Chap 2 Epistemologie/Chapitre_2.tm>
<include|Partie theorique/Chap 3 Cadres theoriques/Chapitre_3.tm>
<include|Partie theorique/Chap 4 Methodologie Questionnement
didactique/Chapitre_4.tm>
\;
<part|Partie expérimentale>
<include|Partie experimentale/Livres et Programmes/Chapitre_5.tm>
<include|Partie experimentale/Situation 1/Chapitre_6.tm>
<include|Partie experimentale/Situation 2/Chapitre_7.tm>
<include|Partie experimentale/Situation 1/Chapitre_9.tm>
<include|Partie experimentale/Conclusion.tm>
\;
<\list-of-figures|figure>
\;
</list-of-figures>
<\list-of-tables|table>
\;
</list-of-tables>
<appendix*|Bibliographie>
<include|Biblio/bibliographie1.tm>
<appendix*|Bibliographie historique>
<include|Biblio/bibliographie2.tm>
\;
</body>
<\initial>
<\collection>
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<associate|page-even-header|>
<associate|page-medium|paper>
<associate|page-odd-footer|>
<associate|page-odd-header|>
</collection>
</initial>
<\references>The problem i get is the following : between my PArt 1 page and my chapter 1 page, i get 2 blank pages, one of which contains "Table des matières" (table of contents) as header. The same happens after part 2.This is pretty anoying for a thesis document and can't solve it.Notice that without a TOC, the page before the part 1 page does have "bibliographie 2" as header.Thanks for all your ideas.Marc
<TeXmacs|1.99.4> <style|<tuple|book|french|compact-list>> <\body> <\hide-preamble> <assign|display-section|<macro|nr|<arg|nr>>> <assign|doc-title|<macro|x|<\surround|<vspace*|0.5fn>|<vspace|0.5fn>> <doc-title-block|<font-magnify|1.682|<with|math-font-series|bold|font-series|bold|<arg|x>>>> </surround>>> <assign|section|<macro|title|<assign|section-numbered|<compound|section-display-numbers>><assign|section-prefix|<macro|<compound|the-section>.>><compound|next-section><compound|section-clean><compound|section-header|<arg|title>><compound|section-toc|<arg|title>><if|<value|section-numbered>|<compound|section-numbered-title|<arg|title>>|<compound|section-title|<arg|title>>>>> <assign|quotation|<\macro|body> <\padded> <\indent-both|<value|quote-left-indentation>|<value|quote-right-indentation>> <small|<surround|<yes-indent>||<arg|body>>> </indent-both> </padded> </macro>> </hide-preamble> <doc-data|<doc-title|L'enseignement de l'algèbre linéaire au<new-line>niveau universitaire>|<doc-subtitle|Analyse didactique et épistémologique >|<doc-author|<author-data|<author-name|Marc Lalaude-Labayle>>>|<doc-date|<date>>> <\table-of-contents|toc> <vspace*|2fn><with|font-series|bold|math-font-series|bold|font-size|1.19|I<space|2spc>> <datoms|<macro|x|<repeat|<arg|x>|<with|font-series|medium|<with|font-size|1|<space|0.2fn>.<space|0.2fn>>>>>|<htab|5mm>> <no-break><pageref|auto-1><vspace|1fn> <vspace*|1fn><with|font-series|bold|math-font-series|bold|Introduction> <datoms|<macro|x|<repeat|<arg|x>|<with|font-series|medium|<with|font-size|1|<space|0.2fn>.<space|0.2fn>>>>>|<htab|5mm>> <no-break><pageref|auto-2><vspace|0.5fn> Contexte de nos travaux <datoms|<macro|x|<repeat|<arg|x>|<with|font-series|medium|<with|font-size|1|<space|0.2fn>.<space|0.2fn>>>>>|<htab|5mm>> <no-break><pageref|auto-3> Premières questions <datoms|<macro|x|<repeat|<arg|x>|<with|font-series|medium|<with|font-size|1|<space|0.2fn>.<space|0.2fn>>>>>|<htab|5mm>> <no-break><pageref|auto-4> Canevas de cette thèse <datoms|<macro|x|<repeat|<arg|x>|<with|font-series|medium|<with|font-size|1|<space|0.2fn>.<space|0.2fn>>>>>|<htab|5mm>> <no-break><pageref|auto-5> </table-of-contents> <part|> <chapter*|Introduction> <section*|Contexte de nos travaux> La linéarité apparait comme une notion essentielle tant en mathématiques (Ellenberg, 2014) que pour leur enseignement (Rouche, 2002). Comme le rappelle cet auteur <\quotation> Dans cet ouvrage, nous montrons le pouvoir éclairant de la <em|structure linéaire>. C'est celle qui sous-tend les grandeurs et leur mesure, les rapports et les proportions, la similitude, l'algèbre du premier degré, les combinaisons linéaires et les espaces vectoriels. L'idée de linéarité, qui apparaît modestement à l'école maternelle, se construit par généralisations successives tout au long de la scolarité. (Rouche, 2002, pp. 1-2) </quotation> Au niveau de l'enseignement supérieur, l'algèbre linéaire est un domaine mathématique au programme de la plupart des filières ayant des mathématiques comme discipline enseignée. C'est le cas notamment des filières de Classes Préparatoires aux Grandes Écoles (CPGE) dans lesquelles nous situons notre travail. La notion d'application linéaire bénéficie d'un rôle central dans l'enseignement de l'algèbre linéaire, pouvant, comme dans l'ouvrage de Halmos (1942), constituer un fil conducteur <\quotation> My purpose in this book is to treat linear transformations on finite-dimensional vector spaces by the methods of more general theories. (Halmos, 1942, preface p. v) </quotation> Notre travail de recherche en didactique concerne donc cet objet \S application linéaire \T en tant qu'objet d'enseignement dans le cadre des CPGE. Nous espérons ainsi compléter les travaux didactiques existants portant sur l'algèbre linéaire d'une part et sur les CPGE en tant qu'institution d'autre part. <section*|Premières questions> Notre recherche trouve son origine dans les difficultés que semblent rencontrer les étudiants lorsque, en situation de résolution de problème, ils manipulent certaines notions mathématiques dites \S abstraites \T. En particulier, les objets de l'algèbre linéaire semblent faire obstacle, confirmant dans le cadre institutionnel des CPGE ce que Dorier (1997) appelle \S l'obstacle du formalisme \T. En effet, en tant que professeur de Mathématiques en CPGE, nous intervenons lors d'interrogations orales dans différentes classes, de niveaux et de filières distinctes. Lors de ces interventions, nous sommes confrontés aux remarques d'étudiants sur le \S côté abstrait \T des espaces vectoriels et, malgré la diversité des enseignements et des programmes des différentes filières, constatons une difficulté commune à aborder les problèmes d'algèbre linéaire.<new-line>Dans un premier temps, nous nous sommes interrogés sur les différentes approches envisagées dans l'enseignement supérieur pour introduire et faire manipuler les objets \S espace vectoriel \T et \S application linéaire \T. Cela nous a conduit à des travaux pédagogiques de mathématiciens proposant une réflexion sur l'enseignement de l'algèbre linéaire<\footnote> Nous pensons en particulier aux articles de Carlson (1992, 1993a et 1993b), d'Axler (1995), au blog de Gowers (2007) ... </footnote>. De ces lectures se dégagent caricaturalement deux pratiques pédagogiques pour aborder l'enseignement de l'algèbre linéaire : <\itemize> <item>une approche que nous qualifions pour l'instant de numérique et qui s'appuie sur la notion de système linéaire et de matrice associée. Cette approche, initiée par Mc Duffee dès 1943, est mise en avant durant les années 70 par des ouvrages anglo-saxons (par exemple, les ouvrages d'Anton : Elementary Linear Algebra, 1973, Lang) et promue en 1993 par le Linear Algebra Curriculum Study Group Recommendations (LACSG recommendations) :\ <\quotation> a matrix-oriented course should proceed from concrete, and in many cases practical, examples to the development of general concepts (...) (Carlson <em|et al.>, 1993, p. 42) </quotation> <item>une méthode plus formelle, plus structurelle dans laquelle, les espaces vectoriels sont définis de manière axiomatique constituent souvent le premier chapitre. Héritée de N÷ther et Van Der Waerden, popularisée entre autres par Birkhoff et Mac Lane (1941) et Bourbaki (1947), c'est une approche \S traditionnelle \T pour l'enseignement de l'algèbre linéaire <\quotation> Le mode d'exposition suivi est axiomatique et procède le plus souvent du général au particulier. Les nécessités de la démonstration exigent que les chapitres se suivent, en principe, dans un ordre logique rigoureusement fixé. L'utilité de certaines considérations n'apparaîtra donc au lecteur qu'à la lecture de chapitres ultérieurs, à moins qu'il ne possède déjà des connaissances assez étendues. (Bourbaki, 1970, mode d'emploi de ce traité, p. vii)\ </quotation> On trouve une telle présentation axiomatique<\footnote> Cette méthode axiomatique, structuraliste et déductive est d'ailleurs à l'origine de ce que l'on a appelé en France les \S maths modernes \T : \S Dans les années 60 et 70 du XXème siècle, les promoteurs des \S mathématiques modernes \T avaient proposé un fil conducteur unique et clair pour l'enseignement des mathématiques. Pour le dire sommairement, ils privilégiaient les structures et l'enchaînement déductif qui va des ensembles et relations aux systèmes de nombres et aux espaces vectoriels. Cette conception exhibait l'unité de la mathématique, que ces promoteurs défendaient si éloquemment. \T (Rouche, 2002, p. 1) </footnote> dans bon nombre d'ouvrages destinés aux étudiants de l'enseignement supérieur et de Licence et de CPGE en particulier. </itemize> Plus spécifiquement, pour appréhender les notions d'application linéaire et de matrice deux parcours semblent donc envisageables : s'appuyer sur le calcul matriciel pour introduire les notions d'application linéaire voire d'espace vectoriel ou, a contrario, construire l'objet matrice après avoir défini celui d'application linéaire.<new-line>En lien avec ces réflexions, les questions premières qui motivent notre recherche didactique peuvent alors s'énoncer ainsi : <\enumerate> <item>Quelles sont les difficultés que rencontrent les étudiants lors de la résolution de problèmes d'algèbre linéaire ? <item>Quels sont les enjeux, en terme de niveau de justification et de raisonnements attendus d'une approche numérique ou d'une approche axiomatique au regard de ces difficultés ? <item>Quelles interprétations peut-on faire de ces difficultés, et quelles hypothèses peut-on émettre sur leurs origines ? <item>Quels dispositifs peut-on adapter ou construire pour permettre une meilleure prise en compte et un meilleur contrôle des raisonnements produits relativement aux savoirs mathématiques visés ? </enumerate> Ainsi, de réflexions pédagogiques autour des enjeux de l'enseignement de notions d'algèbre linéaire, nous sommes confrontés à une réflexion didactique. En effet, pour apporter des éléments de réponse aux questions précédentes nous devons déterminer dans un premier temps comment donner à donner à voir les pratiques, les raisonnements et les processus d'apprentissage en jeu dans les situations d'enseignement étudiées. Puis, dans un second temps, analyser ces observables rigoureusement en adéquation avec les connaissances et les savoirs des étudiants ainsqi qu'avec leurs modes de raisonnement. La didactique des mathématiques, en tant que \S science des conditions spécifiques de la diffusion des connaissances mathématiques \T (Brousseau, 1994, p. 52) s'impose alors. Mais, avec la complexité des notions mathématiques abordées à ce niveau d'enseignement, une simple mise en ÷uvre de techniques et procédures standards ne suffit généralement pas à résoudre les problèmes auxquels les étudiants sont confrontés. Donc, pour évaluer la capacité d'un étudiant à mobiliser ses savoirs et ses connaissances face à un problème, pour évaluer sa compréhension des objets mathématiques, nous devons procéder à une analyse des raisonnements complexes qu'il produit. Pour mener une analyse de raisonnements complexes, nous devons nous appuyer sur des outils didactiques théoriques adaptés au niveau d'enseignement et à la complexité des objets mathématiques étudiés ainsi que sur des expérimentations conçues pour répondre spécifiquement aux questions posées. <section*|Canevas de cette thèse> Pour aborder ces questions de recherche, nous procédons en deux parties. Dans une première partie plutôt théorique, nous commençons (chapitre 1) par dresser un panorama des travaux didactiques concernant l'algèbre linéaire en lien avec nos questions ainsi que ceux concernant les phénomènes de transition entre secondaire et supérieur. Puis (chapitre 2), nous proposons une étude épistémologique de l'objet \S application linéaire \T et du lien avec l'émergence de l'algèbre linéaire, étude sur laquelle nous pourrons nous appuyer pour identifier des ruptures et obstacles épistémologiques susceptibles d'être à l'origine de difficultés chez les étudiants. Ensuite (chapitre 3), nous revenons sur la notion de raisonnement mathématique produit en situation en la distinguant de celle de raisonnement mathématique, au sens usuel du terme. Nous motivons puis présentons ensuite les cadres théoriques dont l'articulation éclaire notre réflexion didactique sur l'objet \S application linéaire \T et son enseignement ainsi que les phénomènes de transition. En particulier, nous enrichissons le modèle d'analyse des raisonnements de Bloch et Gibel (2011) et développons un outil d'analyse sémiotique appelé diagramme sémantique. Enfin, pour conclure cette première partie, nous proposons (chapitre 4) un retour sur les questions premières à l'origine de notre recherche. Nous les précisons alors à l'aide des cadres didactiques rappelés au chapitre précédent. Puis nous présentons la méthodologie que nous adoptons dans la partie suivante afin d'apporter des éléments de réponse à ces questions didactiques.<new-line>Dans la seconde partie, plutôt expérimentale, nous envisageons de mener une analyse des raisonnements et des difficultés produits par les étudiants en situation d'interrogation orale. Au travers d'analyses d'ouvrages et curriculaires, nous commençons (chapitre 5) par préciser les raisonnements, savoirs et connaissances que l'on peut attendre d'un étudiant de CPGE concernant les applications linéaires. Nous utilisons alors entre autres les notions d'organisations mathématiques de la Théorie Anthropologique du Didactique présentés dans le chapitre 3. Nous présentons ensuite (chapitre 6) le cadre institutionnel d'une interrogation orale \S classique \T puis y analysons à l'aide du modèle enrichi de Bloch et Gibel (2011) et du diagramme sémantique les raisonnements produits en situation. La Théorie des Situations Didactiques avec la sémiotique de Peirce, dont les éléments utiles à nos travaux sont rappelés au chapitre 3, proposent un cadre pertinent pour mener notre analyse des raisonnements produits par les étudiants en situation et comprendre les difficultés auxquelles ils sont alors confrontées. Nous procédons ensuite (chapitres 7 et 8) à une même analyse des raisonnements produits dans deux situations expérimentales conçues sur le même modèle. Nous y soulignons alors les différences, notamment en terme de milieu au sens de la Théorie des Situations Didactiques, avec la situation d'interrogation orale dite \S classique \T.<new-line>Enfin, nous proposons en conclusion une synthèse des résultats didactiques<\footnote> Résultat didactique est à prendre ici au sens de Joshua (1996) : \S Un \S<nbsp>résultat<nbsp>\T en didactique est un bloc qui comprend des analyses de données empiriques saisies dans un cadre théorique explicatif, et c'est ce bloc, et lui seul, qui est doté éventuellement d'une certaine stabilité dans des contextes semblables. Si la stabilité est avérée, les conclusions de travaux didactiques peuvent en partie se détacher des préoccupations propres au chercheur pour être légitimement considérées comme des résultats. \T (Joshua, 1996, p. 197) </footnote> obtenus et indiquons quelques perspectives de recherche ouvertes par nos travaux. </body> <\initial> <\collection> <associate|font-base-size|12> <associate|page-even-footer|> <associate|page-even-header|> <associate|page-medium|paper> <associate|page-odd-footer|> <associate|page-odd-header|> <associate|preamble|false> </collection> </initial> <\references> <\collection> <associate|auto-1|<tuple|I|5>> <associate|auto-2|<tuple|I|7>> <associate|auto-3|<tuple|I|7>> <associate|auto-4|<tuple|I|7>> <associate|auto-5|<tuple|4|9>> <associate|footnote-1|<tuple|1|8>> <associate|footnote-2|<tuple|2|8>> <associate|footnote-3|<tuple|3|10>> <associate|footnr-1|<tuple|1|8>> <associate|footnr-2|<tuple|2|8>> <associate|footnr-3|<tuple|3|10>> </collection> </references> <\auxiliary> <\collection> <\associate|toc> <vspace*|2fn><with|font-series|<quote|bold>|math-font-series|<quote|bold>|font-size|<quote|1.19>|I<space|2spc>> <datoms|<macro|x|<repeat|<arg|x>|<with|font-series|medium|<with|font-size|1|<space|0.2fn>.<space|0.2fn>>>>>|<htab|5mm>> <no-break><pageref|auto-1><vspace|1fn> <vspace*|1fn><with|font-series|<quote|bold>|math-font-series|<quote|bold>|Introduction> <datoms|<macro|x|<repeat|<arg|x>|<with|font-series|medium|<with|font-size|1|<space|0.2fn>.<space|0.2fn>>>>>|<htab|5mm>> <no-break><pageref|auto-2><vspace|0.5fn> Contexte de nos travaux <datoms|<macro|x|<repeat|<arg|x>|<with|font-series|medium|<with|font-size|1|<space|0.2fn>.<space|0.2fn>>>>>|<htab|5mm>> <no-break><pageref|auto-3> Premières questions <datoms|<macro|x|<repeat|<arg|x>|<with|font-series|medium|<with|font-size|1|<space|0.2fn>.<space|0.2fn>>>>>|<htab|5mm>> <no-break><pageref|auto-4> Canevas de cette thèse <datoms|<macro|x|<repeat|<arg|x>|<with|font-series|medium|<with|font-size|1|<space|0.2fn>.<space|0.2fn>>>>>|<htab|5mm>> <no-break><pageref|auto-5> </associate> </collection> </auxiliary>
- [TeXmacs] TOC and page headers problems, marc lalaude-labayle, 08/18/2016
- Re: [TeXmacs] TOC and page headers problems, marc lalaude-labayle, 08/18/2016
- Re: [TeXmacs] TOC and page headers problems, Martial Tarizzo, 08/18/2016
- Re: [TeXmacs] TOC and page headers problems, marc lalaude-labayle, 08/23/2016
- Re: [TeXmacs] TOC and page headers problems, Martial Tarizzo, 08/18/2016
- Re: [TeXmacs] TOC and page headers problems, marc lalaude-labayle, 08/18/2016
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